Qui n’a pas culpabilisé après avoir houspillé ses terreurs? Qui ne s’est jamais senti une mauvaise mère après les avoir « lâchement » abandonnés au moment des jeux de société pour aller préparer le souper (au calme, donc!)? A trop vouloir être une mère parfaite, soit on finit par pêter un fusible, soit on n’a plus de vie. Le pire, entendre les professionnels (enseignants, pédopsychiatre…) face aux remontrances de nos têtes blondes nous dire : « Peut-être avez-vous consacré trop de temps aux enfants? ». Ah. Bien… Commençons donc à nous améliorer et ne plus culpabiliser!
A ce propos, j’ai trouvé l’ouvrage parfait! Celui qui permet tout (ou presque) :
Découper la silhouette de son mioche pour l’épingler au mur, coller toutes les saletés qu’il a planquées dans ses poches, lister tout ce qu’on a pas le droit de lui balancer à la tronche quand il hurle pour retrouver son doudou, composer des comptines inchantables pour le bercer quand il refuse de dormir…
Découper, déchirer, colorier, balancer toutes ses vraies pensées, saccager ce carnet, plutôt que son homme et ses enfants!
Toute la créativité guidée pour libérer la mauvaise mère made by.
Au Pays des songes 